Perquisition

Un panneau de placo qui ressortait du renfoncement j'ai réussi à l'enlever et à l’intérieur il y avait des pièces informatiques. Après avoir remis le panneau nous fouillons le grand séjour et monsieur Requet se met au travail sur l'ordinateur et tout en téléchargeant le disque dur il me dit qu'il retrouve les même nom et les adresses que sur les documents papiers mais en plus avec une somme d'argent versée aux noms du policier monsieur Moure. Voilà plus de deux heures que nous y sommes dans toutes les pièces je n'ai pas trouvé de documents mais dans une chambre au fond d'un placard il y avait un bon paquet de drogues que j'ai bien pris en photo. Tout le travail a été fait sans laisser de désordre. En ces trois heures écoulées on a pas trouvé beaucoup de pièces mais mais peut être que ce qui est informatique serra intéressant.

Maintenant il faut repartir sans laisser de traces alors avec prudence je rebranche les alarmes et quand j'ai terminé nous sortons avec vigilance quand je referme la porte l' »alarme se déclenche nous nous dépêchons de sortir de la propriété; heureusement que j'ai bien repéré les clef qui m'ont servi à ouvrir jue referme le portillon et nous filons à la voiture en mettant rapidement ce que nous avons dans le coffre; nous repartons tranquillement en direction de l'hôtel. Arrivé sur le parking de l’hôtel nous nous arrêtons à un emplacement peu éclairé pour passer toutes les pièces dans le coffre de la voiture de monsieur Ruquet. Quand nous regagnons nos chambres une voiture de la police arrive avec grand bruit son gyrophare allumé. Allaient il d'ou l'on venait il va ut mieux ne pas le savoir. Maintenant nous sommes chacun dans notre chambre et par la fenêtre je vois la voiture de police. Effectivement ils sont chez leur collègue donc les alarmes sont bien reliées au commissariat; j'ai du me tromper dans un des branchements on a intérêt à partir rapidement- d'ici pour ne pas être repéré, je vais passer un coup de fil à monsieur Requet pour fixer l'heure du départ alors nous convenons de partir à huit heure au plus tard. Après cette nuit écoulée je me prépare

pour repartir nous prenons le café chacun à une table et quand monsieur Requet est parti depuis dix minutes je part à mon tour et quand j'ai fait un peu de route je reçois un coup de fil de monsieur Requet qui me dit qu'il a été arrête à un barrage de police

mais qu'il est reparti sans problème ils ont juste contrôle les papiers c'est un coup de chance si ils avaient ouvert le coffre il y aurait eu des problèmes ils sont à l'entrée de l'autoroute alors moi je vais prendre la départemental pour les éviter c'est un peu moins rapide mais je suis sorti de la ville sans avoir eu à faire à la police. Qu'est ce que je vais faire maintenant je vais m'éloigner encore un peu plus et je pense m'arrêter pour appeler Léon. Je compose son numéro et je laisse sonner assez longtemps mais ça ne répond pas alors je vais appeler Maurice il pourra peut être me dire si il y a quelque chose de prévu, je sais qu'il était question de rassembler tous les documents que nous avons récupéré pour les laisser en lieu sur. J'appelle Maurice qui me répond rapidement. Allô c'est Jean bonjour Maurice je t'appelle pour te demander

si tu as des précisions pour l'enquête au sujet de Marcel Lapret, est ce que Léon Corné t'a donné des précisions la dessus ou as tu appris autre chose.